Mùm : Will summer make good for all our sins








Une légion à disserter, tranquille lounge & salon de thé de la face visible de l'iceberg le geste hardcore en majesté et marre de tout ça jusqu'à la fondre pour mieux délayer d'eau de rose à faner n'importe quel secret - comme si c'était de l'extase en ablution. Des pages & des pages...

Il suffit - d'un jardin. D'amour - descellé et sans détour. D'un seul silence - à hurler de pareille apnée
le mur de bruit blanc : un bouton de fièvre, surclassé - pour regretter d'avoir connu Lisbonne. Charles Najman, saute-mouton ? Ouais, possible de s'en passer mais - cette histoire... La damnatio memoriae de l'adage à l'ellypse qui métastase. Dont l'omission on devient quelqu'un d'autre dégaze.

Mary, libre de se connaitre étrangère aux autres, contre elle-même - et de le rester en chantant
"Une vie où si on ne paye pas une fois le prix fort on rembourse chaque jour d'un remord". En contrepoint, les lois de l'attraction : par bonheur, tomber à genoux, nager à contre-plongée d'Isabelle Coixet pour donner un nom à un empirisme bel et bon. Les pleins pouvoirs. Les merveilles.

L'Ecosse apprend à dire
merci. Les Indiens d'Amérique aussi. Alors mieux vaut le couvrir, mieux vaut se déchirer : quitte à prendre une nouvelle vague de - Jello Biafra.











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