Holden : Une fraction de seconde


















Dionysos : Thank you Satan [live]






"Ernest Hemingway once wrote
The world is a fine place worth fighting for.
I agree with the second part"
William Sommerset







Commencer par la fin : le bébé du début se présente par le bassin A près de 16 mêtres de distance : le langage recouvre ses droits sans un mot donc - à l'endroit. Le port - qui parle. Arabesque d'ondes cérébrales. La gémellité - s'emmêle. Un polaroïd : pour garder Franz Anton Mesmer. Sauf que c'est inutile. Thésauriser c'est radin. A près de 16 mêtres de distance. Big audio dynamite - sans contact.


Y a de la volte.


Le Chapitre Six ne dit pas son nom. N'importe comment, qu'est-ce nana à foot ? A part s'attacher à la seule administration centrale - le ministère des Transports le seul, d'ailleurs, dont le titulaire ait été oublié : pas un choix, comme quoi... Aucune valeur, césigues. Sauf à la pesée - restituant à la logorrhée sa légitimité : "y a rien à gagner ici". Donc : tout. A une condition.















Françoise Hardy : Mon amie la rose
















H. Incorporated : J.R.




"C'est un peu embarrassant d'avoir été occupé une vie entière par le problème humain et de réaliser à la fin de sa vie qu'on n'a pas de meilleur conseil à donner que : essaye réellement d'être un peu plus gentil"

Aldous Huxley







Bruno Jasiensky. Ce qui fait quatre. Concourir trois fièvres. Ce qui fait trois. Les augmenter, qu'elles tombent plutôt deux fois qu'une, d'un exutoire. Avec la complicité de Dominique A. "Autant que possible". Par combustion. "Autant que possible". A l'intuition.

Jouer sous l'eau. Risquer l'hydrocution. La Suède a tout foutu par terre. Sur le grill, dans la rue, sur un capot. Jouer sous l'eau. "Agitant ses grelots, elle avança et prononça ses mots : Almeria"...

Management par projet & coopération décentralisée. Marcher dans le ciel de Dallas au nom du Père, du Fils & de la ruse de l'Histoire en extra aveuglant seulement maintenant : Diana Prince - pendant. Pierre Akendengue. Après.








- "Phil... Phil, come here. I'm gonna try to talk. I'm gonna try to say something something... Do-do you know Lily ? Do you know her ?
- No.
- Lily ?
- No, I don't.
- She's my love, my life lover. In school when I was 12 years old, in school, in six grade, I saw her and I didn't go to that school but... We met. My friend knew her, I said "What's that girl ? How's that Lily ?" "She's bad... She sex with guys" he said that but then some time, I went to another school but then... When high school at the end, what's that ? What is that ? When you get to the end ?
- Graduation ?
- No, no, the grade... What's grade ?
- Twelve.
- Oh yeah... So I go to her school for that grade, grade twelve and we meet... She was... a kind of doll... beautiful porcelain doll... And her hips... child bearing hips... Y'know that ? So... And I cheated on her. Over and over and over again... because I wanted to be a man and I didn't want her to be a woman... A smart, free person who was something... What fucking mind then, so stupid that fucking mind stupid.... Jesus christ, what would I think, did I think for.... ? for what I've done ? She's my wife for thirty eight years... And I went behind her... over and over... Fucking asshole I am that I would go out and fuck and come home and get in her bed and say "I love you". This'z Jack's mother. His mother Lily. These two that I had and I lost... This is regret and this is the regret that you make and the blah, blah... Gimme a cigarette. Mistake like this Sometimes you make some and it's ok... Sometimes you make a loud... And you know you shouldn't do that... I loved Lily. And I cheated on her. She's been my wife for thirty eight years. And I have this son. And she has cancer. And I'm not there. And he's forced to take care of her. He's fourteen years old... To take care of his mother, watch her die on it. A little Kid. And I'm not there. And She's dying. She knew what I did, she knew all the fucking stupid things I've done but Love was stronger than anything. The goddamn regrets... The goddamn regrets... and now I'm dying... Now I'll die and I'll take it : what the hell ? The biggest regret of my life : I let my love go... What did I do ? I'm seventy five years old and I'm ashamed of that."

My brightest diamond : Tainted love











"That voice in my head, every time I think it's gone, it comes howling back. Calls me when I'm ailing, when I can't find my way home, lost in the pines. I calls it the Black Snake Moan"

Samuel L. Jackson









Le Grand Palais - le Grand 8. A suivre : de mauvais rêves - à la source 11, taille réelle. Un siège, une lettre 20, à l'échelle. Prendre la fuite - jusqu'à un autre Palais. Cette invite - un pain de plastique surprise...

Des
choses
à taire à dire. Sans filet, sans rien - au culot d'une vieille histoire en attendant de retrouver une composition florale dont il se déduit qu'hormis l'esprit d'initiative - l'alcool n'a pas sa place en Italie.

Des promesses
sans lendemain tenues. Des choses à dire à taire. Ecrire : l'heure de gloire de Tabatha-Chinchilla ! Ses mots... N.e.b.o.u.g.e.p.a.s. Le soir. La nuit. Le matin - une entrée fracassante - à dérouter les synapses rerouter. Le Grand Palais : solde de tout comptes Charles Francis Richter portée pâle. Traînailler la réponse est ouais : exprès : entrée, entré. Entrer en scène. Des yeux, curieux. Leurs questions à propos déplacées.

Tom Novembre - sauvé des eaux. Des amorces
mordre. Chassé. Croisé : presque un ouvrage - toujours sur le métier. Gare à pas perdre le Nord : Sergent ou pas - les aiguilles qui s'affolent. La réponse est non ne pas mordre. Michel Crozier. La réponse est oui. Putain de Christ - rien que l'offense opére son vaudou ! la syntaxe est exacte Cette idée : A.p.r.è.s... Pour voir. Birthday party : David Kimble - du blé noir.

Tard - cette disponibilité. Nos secrets - à la réception, à l'arrivée : sans jamais se reconnaitre. Ses frappes - stroboscopiques : qui épuisent le sytème défensif à ne plus savoir qu'en faire. A
veugles, aléatoires, sous-estimées ? Une erreur : rien de moins que graduées... Après vérif du code-source : mistigri mystifié - à la distance, dans la durée. Son imprimatur - le prendre à tort, si longtemps, pour le mien. Ma carte : sa mise. Possédé - ne rien céder, la peau - gagnée par ses ces degrés impossible autrement : un bel canto par temps dégagée : elle danse son propre ballet au milieu du champ de mes mines. Cette volonté - qu'elle parvient à libérer.

Elle ne sait pas quoi en faire. Ce qu'elle gagne - elle le perd - devant l'église, sur le parvis, à couteaux tirés vers un passant,
Lagardère. Feedback : shockwave. Direct sur la fontanelle. Pavloff : kickback de poulpe. Contr'alto : sans charre. La réponse est non : plus ça change, plus c'est la même chose et on connait la chanson. Son métier, l'apprécier. Ce qu'elle gagne, elle le perd en un après-midi. Petit roque : 20 dieux pour une nuit de Walurgis dont il m'a quand même fallu trois jours pour me remettre assez un peu : "c'était plus facile avant", dixit Clark tourné d'un 10è vers le Nord. Fallait pas causer réveil, mal & pratique.

Depuis : Serge Teyssot-Gay
Zone libre, il va bien falloir en parler à la réception, à l'arrivée - rien de jeudi, rien à faire. On connait la chanson et à Toulouse : y a pas de boulanger. Aussi, the house of Girls against Boys, plutôt la pluie que s'y abriter : je n'ai d' n'avoir d'yeux que pour la Dame du Lac grâce à Sissi toi-même tu sais.



David - qui s'en plaindrait ? Lydie n'est ni Georges Pompidou ni
mon un problème.











Penthouse : Voyeur's blues





"Don't believe a word I say"
Charlie Finke












Cat Power & Karen Elson : I love you [me either]





"There's no map
and a compass wouldn't help at all"
Bjork, Human behaviour




"Ain't but one kind of blues and that consisted between man and female that's in love. In love just like I sung them one of those songs while ago and I put a verse in there saying that love hides all fault and make you do things that you don't wanna do. Love sometimes will leave you feeling And sad and blue. I'm talking about the blues ! I ain't talking about monkey junk ! And it consisted between male and female. And that means two people supposed to be in love when one or the other deceives the other trhough their love. Sometimes, that kind of blues will even make you kill one another or do anything that kind of low. It goes here, on this side. That's where the blues started. It ain't on this side. It's over here."


La réponse est oui












The cardigans : My favourite game








"My hands are really shaking
I cannot hardly walk
We're gonna ask the landlord
Why he's been such a cock..."
Jesus Lizard, Thumbscrews


Une secrétaire d'Etat à laquelle je me surprends à penser avec la dernière aménité à la Famille qui rappelle que, parfois : faut savoir couper le son. Un assureur à deux sous. Un porte-parole à ne consommer - sous aucun prétexte. Un préposé à la pûreté de la race kiki joint sa faiblesse structurelle à son agréable en usant de sans-papiers employés pour édifier le centre de rétention dans lequel ils seront emmurés. Un Ministre d'Etat complètement déjeté. Un secrétaire Inspirer du Commerce, de l’Artisanat, des Petites & moyennes entreprises, du Tourisme & des Services Expirer dont l'hagiographie omet de mentionner le grand slam qu'il a impulsé au sein Inspirer de la Fédération des Etudiants Nationalistes, Occident, Ordre Nouveau, du Front National & quelque Parti des Forces Nouvelles Expirer, écoles formatrices de tant d'hommes polis. La ville, le ciel grêlé de chimères, qui croit faire chier alors qu'il faudrait programmer l'ordalie à même le lino, dans le séjour. "La France a peur" n'importe comment : elle devrait de son corset riveté de place en place, depuis Beauvau jusqu'à Vendôme où l'on n'entrave que dalle à "La colonie pénitentitaire" de Kafka. Un Ministre de la Fonction publique qu'on devrait abandonner à Mc Tyer et Mc Gregor : qu'il lève le bras, un peu, si il est fort. Un Ministre de l'Agriculture tout à la fois zélote de la terre, diacre de ostréiculture, touche-colibri multi-récidiviste & porte-parole du mérou tellement à sa place qu'il trouve à être présent à chaque fois que Golgoth 2007 se fait verbaliser. Une secrétaire d'Etat à l'Ecologie dont changement de voltage. Là, in vino veritas : je suis bien emmerdé. Jean-Marc Mormec filant une danse à un rugbyman. Un Agrégé de lettres classiques bien inspiré de se reclasser parmi les espèces protégées des fois que la chasse serait ouverte - anticiper. Une Garde des sceaux rigoureusement antidatée qui joue Cesare Battisti, les FARC & Marina Petrella - à la roulette russe mais très Dior. Un prospecteur qui laisse interdit. Un secrétaire d'Etat saoulé de coups par la France à fric, cependant qu'un chevau-léger qui n'a rien d'un bronco piaffant et tout d'un cheval de traie va, sur un coup de téléphone du Céleste Omar Bongo Odimba, boire du pétrole à Canossa. On recherche - une perruche. Un Premier Ministre qui devrait savoir qu'il n'y a qu'une seule manière c'est Rocky kiki dit de faire sa sortie : les pieds devants aucune exception : voire un littéral précédent, ce qui ne lui interdit pas de songer, pour sa retraite, à remplacer à la tête de la FIA un genre de Captain Psycho du nom de Max Mosley* qui sait s'amuser : costumes nazi & soirées fouettées - s'il vous plait. Une ministre de la Culture convulsée de stupeurs & tremblements devant le Haka néo-zélandais. Le retour des couteaux de cuisine : pour les copins & les coquins - intérieur, extérieur. Le "Guide de la grande révolution de la Grande Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste", invité à la table de son égérie au motif qu'il a créé un prix Mouammar Kadhafi des droits de l'homme pour récompenser les bons & les gentils. Roger & la planète des singes. Epaulé jeté, un sac de riz dans sa face à même le Quai et, pour ta superbe reprise de "l'opportuniste" de Dutronc, c'est pas cher payé. La solidarité qui se prend pour Jane Storm, épouse Richards. Une Ministre de la Santé : ses bras, la caution. Elle s'épanouit à Cambronne depuis le 18 juin 1815 de toute façon. La "Région Capitale" n'importe quoi sur le départ pour "Le Grand Nulpart". A force de parler de "patriotisme économique" la petite mort : déclenchée par la possibilité, alors, d'être un traitre quelqu'un va se faire vider du train. Un secrétaire d'Etat à l'Outre-mer auquel bisotter le nan, ce serait pas bien. Une avocate d'affaires en génuflexion un 10 juillet 2007, devant Tocqueville : juste lui poser - une question. Un ministre de la Défense dont il faudrait être désaxé pour miser qu'il cherche jamais seulement à l'assumer. Un réformateur capable de s'abriter, très copycat, derrière un "Marianne était consentante". Un européen qui nan, en fait : rien. Mais rien Un Haut-Commissaire qui doit avoir la tâche dynamo et l'ego vertigo - nan, si, nancy ? Repriser l'employabilité : comme il n'est pas très haut - d'un mur, tout autour. Un ergonomiste auquel il faudrait présenter Mary : il en verrait, du pays. Simplement : les déposer tous à l'Usine & garder le meilleur pour la fin : "If he starts into lying we'll know it right away. We're only gonna ask him just to hear what he will say. And then we'll get the thumbscrews..."














* Des faits implacables. Accablants. A peine croyables. Le président de la Fédération internationale de l'automobile, Max Mosley, se trouve pris dans une tempête qui pourrait lui coûter son prestigieux poste, l'un des plus influents du monde sportif. Des associations juives britanniques se sont en effet indignées lundi après la diffusion d'une vidéo le montrant lors d'une séance sado-masochiste, évoquant selon la presse un camp de concentration nazi. Le tabloïd News of the World a publié dimanche des photographies et mis en ligne une vidéo de Mosley à Londres, en compagnie de cinq jeunes femmes, dont certaines apparaissent vêtues d'un uniforme rayé de prisonnier. Selon le Times, qui parle d'une « orgie nazie », Mosley s'exprime en allemand et joue tour à tour le rôle d'un détenu et d'un gardien de camp de concentration. « C'est une insulte à des millions de victimes, de survivants, ainsi qu'à leurs familles. Il devrait s'excuser. Il devrait démissionner », a réagi l'Holocaust Centre. Dans le Times, Karen Pollock, directrice générale de l'Holocaust Educational Trust, a jugé que le fait que Mosley soit « dans une telle position d'influence et de pouvoir dépassait l'entendement. C'est cinglé et dépravé ». La réaction la plus attendue était celle de Bernie Ecclestone, le tout-puissant patron de la Formule 1. Verdict ? « Si quelqu'un m'avait dit ça sans preuve, j'aurais eu du mal à le croire », reconnaît cet associé de longue date de Mosley. « C'est un comportement dérangeant. C'est incroyable, spécialement quand on connaît son histoire » familiale, renchérit Edie Friedman, directrice du Jewish Council for Racial Equality. « Cela semble démontrer un certain attachement aux symboles nazis. Ce n'est jamais loin de la surface, même après tant d'années ». Max Mosley n'est autre que le fils d'Oswald Mosley, fondateur de la British Union of Fascists (BUF) et leader des « chemises noires » britanniques dans les années 1930. Les parents de Max Mosley se sont mariés en 1936 chez Joseph Goebbels à Berlin. Oswald Mosley a été ensuite emprisonné par les autorités britanniques durant la Seconde guerre mondiale. Selon le Times, Mosley compte porter plainte pour atteinte à sa vie privée contre le News of the World.

Le Figaro la bulle dextriste de la dépensée qui le fait trop
1er avril 2008 Et c'est même pas un poisson


Helmet : In the meantime




"What's going on ? Ya, what's going on ?"
Marvin Gaye




Remonter par programme, avec attention : les paliers, les couleurs. Ne pas se laisser faire je ne suis pas preneur. Ne pas se laisser faire c'est l'heure.

Dormir - sur le canapé.

Sister Iodine, le satrape, plein les pages et un chapelet d'anniversaires à égréner : ferrer Baudelaire, les jours délayés, à remonter un intermède de jus de pamplemousse. De jus de pamplemousse, de banane et de carottes. De fibres. De lait. De taboulé. De coquilles. Saint-Jacques. Pour basarder le tambour de la machine à laver. De quoi le tenir en respect. Benjamin Franklin, vieux cheval sur le retour : lui tuer dans l'oeuf ses cachets d'intermittent négociés dans un poumon d'acier branché sur fil de phase. Eviter l'Irlande, prendre des bains jusqu'à ce qu'il n'y ait plus rien qui s'y trame : et - une mitzvah, aussi : à venir qui m'aime me suive mais : in vino veritas ? C'est r.i.s.q.u.é. Modèle coopérative et tout : faut mutualiser.

Poppy Bobby McFerrin est sorti mercredi.

Et jeudi : c'est aujourd'hui.











Mogwai : May nothing but happiness come through your door






"For all of you fools in this world who dream watching stars in the sky : I want to tell you you're not alone. For all those who walk in the street, singing, their heads in the clouds : let me write this tune for you.

For all you lovers in this world, for whom the sun shines every day : keep the spirit of your happiness. Hate is so easy in these times that it's a hard way to love : let me play this tune for you.

For all of you who have this dream of a better life in this world : I want to tell you, you're not alone. For all of you who are so sure that justice is losing ground : let me sing this tune with you."

Les Thugs









Vangelis : Les charriots de feu





"J'allais vous révéler mon secret. Celui que je ne dirai à personne au banquet [mon Dieu, que vais-je raconter à ce banquet ?]. C'est un secret simple..."

Frank Miller




Frank Abagnale Jr fatigué de se carapater. Jennifer Stavros, croisée plein champ - un tir longue portée, la ligne de mire coupée par des scotomes n'importe quoi très con, juré. Impossible, trop de bruit : laisser passer un tour car ça me dépasse et, comme si ce n'était pas assez : Raven qui rame à prendre le haut pour le bas aux antipodes de Louis Pauwels specimen aujourd'hui disparu de coyotte dont la mitose a engendré un accident appelé Raffarin... Alors juste - arrêter l'apnée et penser au GIGN un peu qui mérite mieux que de faire la tortue avec un Agent aux abonnés absents : "le reste est facile". Il sera toujours minuit - mais les places valent chères : si Will Oldham a cru se dégotter un viager, ses fenêtres vont se faire spécialement récurrer à défaut de pouvoir karcheriser le kiki à sa Carla kiki l'aura pas volé...

Un quartier.
Rouge sur noir, dès ce soir.
Un programme.
Les superposer.
Un seul jet.
S'y colleter
enough said :





Un test - de ce qu'il en reste. Avant de remixer, à la parade, Kasparov &
cette baudroie de Copé... Et : Sister Iodine, Satrape ? M.e.r.c.i. pour l'étrier.





Jon Spencer Blues Explosion : Identity





"Soon I discovered that this rock thing was true. All of a sudden, I found myself in love with the world. So there was only one thing that I could do was ding a ding dang my dang a long ling long..."

Ministry,
Jesus built my hotrod





Made in Turquie. Près de 4 mêtres sur 2. Des bouquetins - dans le détail. Des semis - qui s'embrasent. Un rocher, perché, l'avenir à peindre ou à dessiner. Une légende : rien de plus. Une expérience : rien de moins. Le Louvre par contre : chépukelelle 365 jours ouvrables, complètement toqué de Jessie Mae.

Red Manley tombé à terre. A partir des bris de sa supplique : prévoir de construire un mur de bruit blanc tout autour & le chant de sirène attenant. Ne manquent que quelques derniers instruments. Quelques ajustements. Servir transportant & ensorcelé.

Un Choryphée : "J'irai p't-être au Paradis mais dans un train d'Enfer". Et Jean Vigo, aussi.

Une fleur une seule en boutonnière.
Les pleins pouvoirs.
Et les merveilles.

Le compte est bon.


Nespresso.
Pour - le mot de la fin.
"What else ?"







clin d'oeil : un acronyme








Billie Holiday : Strange fruit





Il y a des lumières. Il faut chaud. Elle ouvre le bal. Elle essaye de sourire. Ils sont épuisés. Elle tient encore debout. Elle est exténuée. Claro que si. N'importe comment, elle raconte une histoire. Ca se passe dans les années soixante. Ca pourrait être dangereux Il y a à certains endroits des arbres qui donnent le genre de fruits qu'on souhaiterait ne jamais voir :


Ses dents - la neige. Contraste à en avoir la tête qui dervishe. Chaque jour : l'emmener à l'abri des regards indiscrets. Paul qu'il s'appelle. Cette invite qu'elle lui fait... C'est monumental. Phénoménal. Sensationnel. Au carré... Adorables, leurs jambes : un grand désordre. Une grosse quote-part disons : rose. Chaque jour, une promenade là où nul ne les verra. Sa peau, si sombre : les lois de l'attraction. Qui font le reste. Paul qu'il se prénomme : cette proposition qu'elle ose... C'est grand. Géant. Gigantesque. Bégayé de surprise...


Ca se passe dans les années quatre-vingt. Ils sont sur scène. Les glandes sudoripares en heures supp'. Elle commence. Elle est sur les rotules. Il y a quelque chose qui la fait tenir debout. Elle n'en peut plus. Claro que no. De toute façon, elle conte une bluette. C'est défendu. En chantant, elle parvient encore à sourire. La fatigue, on l'oublie :













John Williams : La marche impériale





"Come to the dark side...
We have cookies !"
Chépaky






- Bonjour.
-
- Bonjour, j'ai dit.
- Je ne suis pas Beethoven.
- Alors c'est que tu n'es pas poli.
- La politesse est hors sujet.
- C'est pourtant l'usage.
Sourire
- Alors c'est que j'ai du intégrer plus que de raison la différence entre les civilités & les hostilités.
- Qu'est-ce que...
- Pourquoi que tu crois que je suis là ?
- Tu savais que je viendrais ?
- Il pleut alors je me suis dit que ce serait le genre de temps à te faire sortir de terre.
- Qu'est-ce que je dois comprendre ?
Dodeliner
- Allons, allons...
- Fais a.t.t.e.n.t.i.o.n.
- C'est ce que je fais, ah ah ah ! Tu n'es pas n'importe qui...
- Tu me dois le...
- A toi de faire a.t.t.e.n.t.i.o.n. Des fois que je perdrais la tête et me piquerais de te rembourser ce que d'autres te doivent, en effet.
Un ange
- La réponse est oui.
- Jamais tu ne...
- La thèse s'en balance, de toi ; en terre du millieu, on est bien trop occupé en salle de travail ; quant à Diana, si tu crois qu'elle va venir à ta rescousse c'est que ta calebasse est en train d'avorter... Aussi je compte parfaitement sur toi pour trouver les mots qui me feront parfaitement franchir le pas. Je t'apprendrai - un jeu : tu n'en - reviendras pas...
- Tu ne peux pas.
- Je prends le droit.
- La haine ne te mènera nulpart.
- ??? C'est un truc pour les êtres humains, ça Le mal ne se hait pas : simplement - il se combat.
- Toutes ces années séparés pour en arriver là ?
- La réponse est non : toutes ses années à anticiper le moment où tu captes que, pile ou face, je te suis en tout point supérieur ce qui m'amuse bien.
- L'orgueil est un pêché.
- Je ne capitalise pas : j'élève un constat.
- On va dire que je n'ai rien entendu Alors ?
- Alors quoi ?
- Et maintenant ?
- Il y a cette chambre là-bas et il y a toi : la seule chose qui t'en sépare, c'est moi.
- C'est ta manière de me faire payer ?
- Puisque tu m'as l'air de commencer à comprendre de quoi il s'agit : la réponse est oui, à cette exception près - tu ne m'as causé aucun dommage.
- Je t'ai donné la vie. Au moins accorde-moi ça.
- Je te l'ai reprise. Sans en avoir jamais conçu le moindre regret. Tout est là.
- C'est ce que tu veux croire.
Aux éclats
- Djézeuce Kraïste ! Quelle vanité...
- Il y a des choses qui ne se remplacent pas.
Sourire
- Arrime-toi à ton sloggy : je suis plus jeune que toi. Je suis plus beau que toi. Je suis plus intelligent que toi. Je suis plus fort que toi. Je suis plus grand que toi. Et, ce que tu savais faire ? J'en ai l'usufruit - à la puissance 3 malheureusement pour toi : alors bon...
- Je n'ai pas l'intention de partir, tu sais.
- Ce bébé me demande de rester à cet effet, tu sais.
Son rire
- Il te parle ? ! Déjà ? ! ? !
- Il me dit qu'il veut être heureux. Ca tombe bien car - tel est mon bon plaisir.
- Tu penses pouvoir en décider ?
- Je suis déjà en train de le faire.
- Mon petit-fils se trouve au bout de ce couloir...
- Et entre mon neveu et toi : il y a moi, rien que moi mais - tout moi.














Sigur ros : svefn-g-englar




"Music expresses that which cannot be said
on which is impossible to keep silent
"
Victor Hugo



- Ce n'est pas grand chose.
- Ca dépend.
- De quoi ?
- De la façon de les employer.
- 10 minutes, mais qu'est-ce que c'est ???
- Pas assez pour les gâcher à parler.
- C'est à prendre ou à laisser ?
- Sauf si tu as mieux à proposer.
- Oui.
- Comme quoi ?
- Les faire durer imbécile.
- Comment ?
- Je te dirais bien 17 fois Cécile Cassard mais je l'ai pas vu.
- Quel est le rapport ?
- On va essayer autre chose Tu sais compter jusqu'à combien ?
- J'ai eu 3 au baccalauréat en mathématiques.
- Me prends pas pour une conne.
- C'est véritablement vraiment vrai.
- Rassure-moi... T-tu p-peux aller jusque
, au moins ? ! ? ! ? !
- Je dois vraiment répondre ?











Mylène Farmer : Sans logique




"Dans la république d'où je viens, les hommes sont éteints mais ils se disent gais. Le monde leur est dur mais ils le disent doux. Ainsi survivent-ils à ce qui les défait. Mais lorsque d'aventure s'annonce une vraie joie, ils passent à ses côtés sans reconnaître son visage, ou la boudent, blasés avant que de savoir. Il peut même arriver, qu'inquiets de son allure et rendus ombrageux, ils se jettent sur elle, et l'étranglent."

Lydie Salvayre, Contre















Susanna & the magical orchestra : Enjoy the silence




"All the things that they're saying and doing when they pass me by just fills me up with noise. It overloads me. I wanna disconnect myself. Too much to know. Too much to see. It might mean something to you but it's nothing to me. I think i'm going to download my mind."
Henry Rollins







Plein les yeux.
Plein la tête.
Plein la bouche.

Un été à bosser la propédeutique, le symbolisme & les merveilles en observant Mary conduire l'interrogatoire de Fabien. Va savoir Les gens sont comme les saisons, Sophia. Bientôt : jardiner. Mieux. Offrir. Encore. Une composition. Le corps, les mains. Du temps. Le Temps. Un dyptique ? Peut-être à force aller voir en prévision le Docteur Berchon juste : "J'ai une ordonnance. Signée par le siège. Alors parlons peu, fais ça bien..."

La polarité -
hésite.
Parce que ça fait du bien.
Parce que dans l'étang, il est 22H45 mais ici & aujourd'hui - il est minuit
tu sais.

Retrouver :
une boulangerie.
Christopher, aussi : sa truelle, et une sorte d'équerre.











Expérience : Bienvenue







"Entre ce que je pense, ce que je veux dire, ce que je crois dire, ce que je dis, ce que vous avez envie d’entendre, ce que vous entendez, ce que vous comprenez, il y a dix possibilités qu’on ait des difficultés à communiquer. Mais essayons quand même".

Bernard Werber