"Il décrocha et beugla dans l'appareil :
-Liz, ma belle, comment ça a marché ?
Je me levai et nous nous serrâmes la main par-dessus le bureau. Il posa sa main libre sur le combiné :
- Y faut qu'on se voit bientôt, Fritz. Dîner, ça te dit ?
- Ca me va, Jack. je te téléphone.
Il me fit signe au revoir d'un hochement de tête. Comme je franchissais la porte, je l'entendis s'exclamer, d'humeur joyeuse :
- Un député ? Et c'est ça qu'il voulait faire avec toi ?"
-Liz, ma belle, comment ça a marché ?
Je me levai et nous nous serrâmes la main par-dessus le bureau. Il posa sa main libre sur le combiné :
- Y faut qu'on se voit bientôt, Fritz. Dîner, ça te dit ?
- Ca me va, Jack. je te téléphone.
Il me fit signe au revoir d'un hochement de tête. Comme je franchissais la porte, je l'entendis s'exclamer, d'humeur joyeuse :
- Un député ? Et c'est ça qu'il voulait faire avec toi ?"
La réponse est oui
On est en République, ici. C'est la civilisation. La Samaritaine, donc : alors on y trouve de tout. Avec quel code-source. "Ce qui est à moi est à moi ; ce qui est à toi est négociable". Claro que si - The Place To Be : "I'm from France, that's why I dance..."
Il n'est rien à faire, rien à dire.Des gens s'en chargent, voyez-vous Juste - regarder, danser, regarder danser : ça "ne résoud pas la guerre et n'empêchera pas la fin du monde, mais [...] peut aider à garder la tête haute". Ce serait déjà bien, ce serait déjà bien assez.
N'était...
Ce bras.
Près de mener sa vie comme il l'entend.
Alfred Rethel.
Cherchant à s'inviter.
Parce que "la vie ne vaut rien".
Il n'est rien à faire, rien à dire.
N'était...
Ce bras.
Près de mener sa vie comme il l'entend.
Alfred Rethel.
Cherchant à s'inviter.
Parce que "la vie ne vaut rien".
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