Stina Nordenstam : I came so far for beauty






Une pandémie : une incantation Le pays, pacifié par un géant qui envoie du bois son channel n ° III. Des cendres, exhumer un grand lapin, un photographe, les jeux de la faim. Donner un coup d'arrêt, annuler au moyen d'un ascenseur fabriqué en 1984. La Reine est tout interdite, à parler de magie. C'est osé, c'est insensé, c'est extrême, c'est intolérable, c'est addictif...

Peut-être assurément Lauren Baccal. Un corbeau, un roi-charogne, son enveloppe - brûte. Et chaque angle, chaque clairière, chaque parcelle jamais touchée ni urgente devient soudain opaque, vivante et bavarde - déhanchements. La faim encore et différente - c'est pas du chiqué : à en mourir. Attendre le générique de fin pour savoir... Belle à ravir... Ses yeux. Découvrir - une fois libre ? - Georges Dawson, la douceur, l'amitié, rembobiner, reconnaître, inchanger. Un confessionnal, apprêté... Essayer. Un murmure A la vérité, c'est une sainte sagesse que de ne jamais le perdre. 














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