My bloody valentine : Sometimes








"My heart burns"

Alec Empire


















Mono : Where I am








"So come,
Step on inside..."

Vietnam




Un Ce jardin, qui va plus loin, se dévoile : presque un tatouage sur le bras, inviolé - en contrepoint, certaines parties qui se donneraient pour 3 euros, juste pour pouvoir s'en faire l'écho. Des segments, juxtaposés - à n'en plus finir. Jamais. D'une hauteur de 1 748 mêtres. A la fois élevés, américains, graphiques, allemands : un ordonnancement qui s'impose sans se laisser posséder - rien à dire, juste embrasser : "D'ici vinrent les filles savantes en toutes choses" - être épars, être disposé : elles figent, coupent, agencent - l'une contre l'autre, la troisième est balottée. Parfois, se féminiser. Souvent s'armer de nouveauté à l'ombre d'une question volée, à la volée, fixée. Deux C'est dangereux mais - rien à faire : n'importe comment, "on a déjà vu la mer rendre certains corps qu'on avait dit portés disparus" alors autant aller jusqu'à lui, jusqu'à elle. Alors autant leur parler : "Donne-moi ce que je pourrai voir..." Echange de bons procédés : promettre, mais avant - allons, maintenant, il faut partir. Toi-même tu sais. Trois














Explosions in the sky : Your hand in mine





2 minutes,
4 secondes






"Since I met you this small town
Hasn't got room for my big feelings"

Björk,
Violently happy










"Today I turn my blood to sweetest wine. A holy sign imbued with the divine. Today's the day the gods walk out on me. The great divide is crossed for you by me... Today the silent one does have her say. Today all contradictions seemed ok. Today's the day that I become the sky. A silent understanding, my, oh my... Today, for once, I'm not the last to learn. Today the only bridge I have, I burn. Today's the day the gods walk out on me. The great divide is crossed for you by me... For I am the way. Burn all effigies of clay. Walk on water today..."



La réponse est oui



"I got that beat in my veins for only rule
Love is to share : mine is for you"

Sébastien Tellier,
La ritournelle









Röyksopp : What else is there







Works great on blood stains






- Oui ?
- Juste une - question.
- Pourquoi ?
- Pourquoi pas ?
- Arrête ça.
- Je n'Y peux rien...
- Pas maintenant.
- Aucun moment n'existe pour...
- Mais, pourtant, tu insistes pour savoir...
- ... C.o.m.m.e.n.t.
-
-
-
-
- Exactement, qu'est-ce que ? Qu'est-ce que tu veux que ?
- Comment fais-tu ?
- Comment je fais quoi ?
- Comment fais-tu pour ?
- Je ne comprends pas.
- Soit tu fais semblant. Soit tu...
- C'est le seul moyen que j'ai trouvé.
-
-
-
-
- Tu sais que...
- Oui. Mais il me fallait un biais.
-
-
-
-
- Comment ?
- ?
- Comment fait-on ?
- Je ne te suis pas.
- Moi non plus...
-
-
- "Comme si de rien n'était".
- C'est la Nouvelle vague, ici... Ah, parce que c'est aller de l'avant, de...
- Arrête ça.
- Pourquoi ?
- Pourquoi pas ?
- Soit tu apprends vite. Soit je deviens...
- ... Tu ne me laisses pas vraiment le choix.
-
-
-
-
- Alors ?
- Alors quoi ?
- Rien. Disons que j'ai - déjà oublié.
- Tu n'oublies jamais.
- J'apprends vite.
- Je ne t'ai jamais...
- Si. En 1948.
- Ma grande oeuvre ?
- Rien de moins.
- Et pour la musique ?
- Serge.
- Gainsbourg ?
- Tu ne veux pas savoir. Et je ne veux pas...
- Arrête ça.
Fragmentation
- Teyssot-Gay.
Henry, nom de nom...







Katrine : Eye of the tiger








"I'm a fool to believe
My heart is so wide open
I'm so easy to deceive
I'm a fool
I'll keep
believing
I'm a fool
I believe it all
I'm a fool who'll keep on
trying
And like a fool I will
crawl"

Rollins Band












Elle est passée par là : impossible d'apprécier sinon collé au hublot - Loup, y es-tu ? Lou, il n'y a que ce que tu vois, "qui est le brouillon du jour qui est le brouillon de la nuit"... Eh quoi ? ! ? C'est comme ça : un entrelacs d'arabesques, Madame la Marquise. L'échelle est versatile. L'échelle n'arrête pas de bouger. L'échelle est flouttée. Il y a plusieurs échelles. "Tout va très bien". Qu'importe le mur - fissuré, juste de quoi filtrer. Qu'importe le chant qui parvient à trouver un biais ; parce qu'il faut être à la page - trop tard pour faire autre chose que s'attacher. Il y a un haut-parleur sur toi-même tu sais : c'est enlevé, c'est excessif, c'est parfait. A cela ajouter une pièce montée, dupliquée, avec luxe, sur un coup de folie - intérieur, extérieur : pile & face mais un seul regret. Un texto, un comité. 3 agents, des liens déliés - les bienveillantes les sourcils fronçés. Un kilo, une pomme, un tourne-dos : "c'est la condition de momentanéité qui manque" et qu'il faut - inverser. Papa, ses gambettes : accroché. Bientôt, la scène. Un cycle : bientôt, le rêve, à se revendiquer - en partage, un vol à verrouiller. Des pareidolies sériées, chéries, collectionnées, converties, espérées, qui font dire : "C'est tout ensemble, putain", "de quoi tenir jusqu'à demain matin" : 3 mois effilées dans la peau d'une volaille costumée, au pas, croisé avec un caméléon cravatté ce n'est pas une image prince d'un champ de mines dont les minuteries feraient "I'm a gambler, and I will take you by surprise..."



Quelque part.
"Un vieux projet".
Faire de l'or.
Faire de l'or avec.
Faire de l'or avec de l'oxygène.
"Je formai ensuite le numéro de la boite de Mendy Menendez..."