Yael Naim : Flashdance [what a feeling]

Cinq

Les filles contre les garçons. Les filles contre les garçons. Départagés par Alan Vega qui déclamerait une tragédie rien de grecque sur les marches du 77, Barton street. Pour autant, hauts les coeurs - "seule la musique", habitée, les personnes, la personne, ok mais je n'ai aucun goût pour l'hagiographie très "il s'en ait fallu de peu qu'il ne marchât sur l'eau" et tout ce qui s'en suit... N'importe comment, la réponse est oui : "like a bright light on the horizon, shining so bright, he'll get you flying, he'll drive you away, he'll drive you insane, but then he'll remove all of your pain"...

Un livre, les pages tournées d'une langue anglaise balbutiante, chercheuse, hésitante. Un enregistrement pirate, fort fort même pas en jouant du volume sonore parce que l'appel, live, aurait pu contenir un empire. La chanson, live, c.o.n.t.e.n.a.i.t. un empire... Blanc & noir : totalement total, l'idoine exutoire. Vaudou 100% derviche électrique. C'était hier, tu sais... Seulement hier, c'est danser, samedi dernier quand nous aurions du être radicalement tous couchés, heureux & heureux aujourd'hui.






Une coupe de cheveux fixée au gel de l'année 1995 : une sorte de - permanente. La réponse est oui : parce qu'hier c'est encore nanani aujourd'hui... Le GIGN, en formation hoplitique : et moi difficile d'accès, même pour appelons-là August ou, pourquoi pas : la femme-crocodile alors qu'elle avait les pleins pouvoirs sauf celui de me déverrouiller ce soir-là émoi... Jusqu'à ce que le maître de Cérémonie, toujours partant pour la sorcellerie, se lève, décapsule le disque qui tournait et trouve à briser en quelques trois minutes la herse dressée par mon humeur : remixée d'un sourire, pour de bon, grâce aux filles contre les garçons*.

Les journées nationales de l'épylepsie ont eu lieu du 17 au 23 novembre.

* Quelque chose - audible et, surtout, ici, visuel - qui les rend singulièrement singuliers... Un putain de Christ de système A.B.S.