John Williams : La marche impériale





"Come to the dark side...
We have cookies !"
Chépaky






- Bonjour.
-
- Bonjour, j'ai dit.
- Je ne suis pas Beethoven.
- Alors c'est que tu n'es pas poli.
- La politesse est hors sujet.
- C'est pourtant l'usage.
Sourire
- Alors c'est que j'ai du intégrer plus que de raison la différence entre les civilités & les hostilités.
- Qu'est-ce que...
- Pourquoi que tu crois que je suis là ?
- Tu savais que je viendrais ?
- Il pleut alors je me suis dit que ce serait le genre de temps à te faire sortir de terre.
- Qu'est-ce que je dois comprendre ?
Dodeliner
- Allons, allons...
- Fais a.t.t.e.n.t.i.o.n.
- C'est ce que je fais, ah ah ah ! Tu n'es pas n'importe qui...
- Tu me dois le...
- A toi de faire a.t.t.e.n.t.i.o.n. Des fois que je perdrais la tête et me piquerais de te rembourser ce que d'autres te doivent, en effet.
Un ange
- La réponse est oui.
- Jamais tu ne...
- La thèse s'en balance, de toi ; en terre du millieu, on est bien trop occupé en salle de travail ; quant à Diana, si tu crois qu'elle va venir à ta rescousse c'est que ta calebasse est en train d'avorter... Aussi je compte parfaitement sur toi pour trouver les mots qui me feront parfaitement franchir le pas. Je t'apprendrai - un jeu : tu n'en - reviendras pas...
- Tu ne peux pas.
- Je prends le droit.
- La haine ne te mènera nulpart.
- ??? C'est un truc pour les êtres humains, ça Le mal ne se hait pas : simplement - il se combat.
- Toutes ces années séparés pour en arriver là ?
- La réponse est non : toutes ses années à anticiper le moment où tu captes que, pile ou face, je te suis en tout point supérieur ce qui m'amuse bien.
- L'orgueil est un pêché.
- Je ne capitalise pas : j'élève un constat.
- On va dire que je n'ai rien entendu Alors ?
- Alors quoi ?
- Et maintenant ?
- Il y a cette chambre là-bas et il y a toi : la seule chose qui t'en sépare, c'est moi.
- C'est ta manière de me faire payer ?
- Puisque tu m'as l'air de commencer à comprendre de quoi il s'agit : la réponse est oui, à cette exception près - tu ne m'as causé aucun dommage.
- Je t'ai donné la vie. Au moins accorde-moi ça.
- Je te l'ai reprise. Sans en avoir jamais conçu le moindre regret. Tout est là.
- C'est ce que tu veux croire.
Aux éclats
- Djézeuce Kraïste ! Quelle vanité...
- Il y a des choses qui ne se remplacent pas.
Sourire
- Arrime-toi à ton sloggy : je suis plus jeune que toi. Je suis plus beau que toi. Je suis plus intelligent que toi. Je suis plus fort que toi. Je suis plus grand que toi. Et, ce que tu savais faire ? J'en ai l'usufruit - à la puissance 3 malheureusement pour toi : alors bon...
- Je n'ai pas l'intention de partir, tu sais.
- Ce bébé me demande de rester à cet effet, tu sais.
Son rire
- Il te parle ? ! Déjà ? ! ? !
- Il me dit qu'il veut être heureux. Ca tombe bien car - tel est mon bon plaisir.
- Tu penses pouvoir en décider ?
- Je suis déjà en train de le faire.
- Mon petit-fils se trouve au bout de ce couloir...
- Et entre mon neveu et toi : il y a moi, rien que moi mais - tout moi.














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