Les thugs : Take me away










Un Entendu sur le passage d'une manifestation à propos des dernières menées du Ministre de l'Education de mon cul : "Mais qu'essssst-ce qu's'passsssse dans l'espacccccce ???" Deux Pêché, au vol, en essayant de trouver une perle rare même plus éditée : "Tu me regardes comme si je te demandais d'éteindre un incendie avec un tournevis". Trois Y a trop de boucan, pardi...







Les oreilles qui buzzent, pour mémoire, à essayer de racrocher les michelines, sans être tout à fait au diapason... De cette proximité, à fleur de peau - requiem dans la maison royale ; de 12 ans de responsabilité pénale - c'est Jacques-Alain Benisti, le grand pisteur, qui doit transer ; de cette femme qui se retourne, le temps de claquer des doigts, sa fille n'est plus là, le temps d'un sortilège à son bibi, elle en est là ; d'un sans-papier dans la garde rapprochée qui pouvait en conter, des histoires dégorgeant leurs eaux noires ; de ces rapports librement consentis - et pourquoi pas un mariage annulé pour "erreur dans la personne ou sur les qualités essentielles de la personne", aussi ; de ces milliards en danse maboule, un ministre du budget totalement démonétisé mais que rien n'arrête demandant un peu de sérieux à Jean Ziegler parce qu'il plaide, lui, pour qu'on n'oublie pas l'Afrique... En contrepoint ? "Dis-moi comment vous allez. Dis-moi comment tu vas. Mon monde pourrait bien s'écrouler, tu sais : si tout est sauf pour vous, si je n'ai pas à craindre pour toi..." Alors puisque Kristin Schlinker a découvert la valise de Georges Eymard, ces photos de Mari-Lou, ce tableau d'un coreligionnaire du stalag ; puisque ce mois promet concuremment d'heureusement heureuses surprises à venir : rester dans le match.











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