The smiths : Please, please, please

"Dernière ligne droite. Plus rien ne me sépare de l'arrivée. Soudain, mes écrans de contrôle s'affolent. je passe en manuel. Mais l'ordinateur a perdu les pédales et refuse de passe la main. Je l'encourage. Il me décroche une pluie d'escarbilles brûlantes pour m'aveugler. c'est moi le maître à présent : ça me plait. Alors l'avant décide de partir dans le mauvais sens. Je devine la suite. J'ai moins de deux secondes pour tout arrêter et me mettre hors course. Le moteur est furieux, il me donne son opinion. La ligne d'arrivée est tout près, hurle-t-il, trop près. La roue avant-gauche me lâche et file de son côté. Je l'ignore en ricanant et braque à fond vers la droite. Le pare-chocs arrache un morceau d'asphalte. Je le regarde voler et plonge dans l'oeil du soleil..."

Frank Miller,
Dark knight returns

Jennifer. Superbe. Ouvrant la marche. Marianne. Elle-même. Quelque part - carrément Madeleine. Il est là, aussi : de pied en cape. La cuisine est ici. Un tomahawk. Déterré. Prêt à servir & protéger. Et bien sûr, Katie. Depuis son empire. De tout son poids. Le Ministre. Depuis son ministère. A vérifier, revérifier. Sceller le tout au tout. Mary. L'Agent & son chiffre indépassable, le Général & son grade insupportable : programmé en mode seize. Un souffle au coeur : c'est tout. Les mains jointes - unique ; cette session extraordinaire - les multiples, leurs figures tutélaires : tous au rendez-vous. L'oubli boulotté par lui-même : le truc de fou... Si c'est là le prix à payer, d'accord. Parce qu'il y a le pourquoi, la permanente permanence quand vous êtes là, je vous aime ; quand vous n'êtes pas là, je vous aime quand même & les figures libres : alors la folie on s'en fout. Parce que tout ça libère la mélodie écoutée à l'instant possédante, possédé, depuis juin, juillet moquant les contingences au départ les conditions, incertaines, d'en ajouter une autre ou pas comme à l'arrivée la manière dont ; qui me ; par enchainement & cohésion : Six - qu'importe que tu sois à l'étranger. Qu'importe que tu ignores le doublé on est, pour la deuxième fois, en mono ; on est, au-delà & totalement total, deux fois en mono qui se joue. Qui est en train de se jouer.